Aujourd’hui dans le petit monde du web, tout le monde fait du référencement. Et beaucoup font n’importe quoi au détriment des clients et du métier en lui-même.
Balayons tout de suite les sociétés qui proposent du référencement « oldschool » basé sur les balises meta keyword, les soumissions aux moteurs de recherche, le bourrage de mots clés (en blanc sur blanc s’il vous plait) et les soumissions automatiques aux annuaires.
Excluons aussi les prestataires qui annoncent des prestations de référencement en première position sur Google en 48 heures et qui proposent en fait des prestations de SEA (Search Engine Advertising) en achetant des mots clés.
Encore un petit coup de balai sur les entreprises qui n’offrent que des suivis de référencements (tous les mois dans votre boite mail ou via un espace personnel sur leur site).
Bien évidemment, aucune de ces prestations n’apporte une vraie valeur ajoutée à long terme pour le client et aucune de ces prestations ne mérite l’appelation « Référencement ».
Il n’existe pas de définition précise du référencement ce qui permet tous les écarts possibles et c’est pour cela que des associations de SEO se créent et essaient de proposer des chartes de qualité et d’éthique.
Le référencement au final qu’est-ce donc ?
Voici ma définition :
Le référencement, c’est être trouvable sur Internet même si les internautes ne savent pas que c’est vous qu’ils cherchent.
A partir de cette définition, on peut en tirer les points suivants :
- La recherche est dans le top 2 des actions effectuées sur Internet avec les email.
- Le référencement doit amener à une action (acheter, contacter, s’abonner, informer), ce n’est pas la cerise sur le gateau, ce qui amène au point suivant…
- Le référencement est un processus au service d’un objectif, ce n’est pas une fin en soi.
- Le référencement est mesurable, des jalons marquent les étapes phares.